Bonjour monsieur le juge, je suis le voisin de la journaliste. Je suis venu la défendre et je compte sur vous pour me comprendre. Alors voilà…

 Chaque jour la journaliste part se promener dans le parc. Un jour, on l'a cognée. Elle s'est retournée et elle a vu un type. Elle a regardé dans sa poche. Son porte feuille avait disparu!

Le jour suivant, le même type lui a volé un journal.

Et le troisième jour une balle était rentrée par la fenêtre en faisant un énorme bruit. Donc, elle a compris que le type voulait l'assassiner. Alors elle l'a tué, puis a mis l'article dans le journal sans parler d'elle car elle avait peur de ne pas être cru par la police ou par vous même monsieur le juge.

La fille de l’assassin se retrouve avec le juge au tribunal:

-Eh bien moi, mon papa, il avait fait ça pour nous protéger du vendeur de machinchose!

-De drogue?

-Je crois que c’est ça…

-Mais ce n’est pas une raison pour le tuer!

-Et qu’est-ce qu’il devait faire alors?

-Avertir la police bon sang de bonsoir!

-Maman m’a toujours dit que le juge a toujours raison, mais là, franchement vous êtes toc-toc mon vieux! S’il avertit la police, ceux-ci ne voudraient pas le croire !

-Bon, c’est bien vrai. Je vous accorderai 10 ans de prison à la place de 15.

Ma chère juge, la boulangère avait peut être tué son mari mais  il la maltraitait, il lui criait dessus. Il la tapait, et voulait la tuer.

Pendant toutes ses années, on s'est battu pour les droits des femmes et cette femme vivait avec un homme qui refusait que sa femme s'achète des médicaments ou même une robe correcte. Á chaque fois qu'elle le menaçait de le dénoncer, il disait qu’il allait nous tuer avant.

Ma chère juge, nous savons que Marie Curie a révolutionné les femmes et nous n'allons plus nous laisser traiter  ainsi. Quand elle était enceinte, et elle l'est toujours, il n'arrêtait pas de la taper donc il viole deux lois d'un coup puisqu’il tapait un enfant dans le ventre de sa mère.

Et nous savons tous que si nous le faisons l’enfant peut mourir. Je compte sur votre compréhension et votre intelligence. Merci MADAME de m’avoir écoutée. 

Le juge : Monsieur Moussa, vous êtes condamné à 5 ans de prison pour avoir tué le plus grand bijoutier du pays.

Yasmina : Monsieur le juge, je veux prendre la défense de mon frère. J’ai des preuves !

Le juge : Parlez jeune fille.

Yasmina : Premièrement, j’ai vu un couteau suisse qui dépassait de sa poche. D’habitude il n’en a pas ! Deuxièmement, je l’ai vu avec un homme que je ne connaissais pas parmi ses amis. Et troisièmement,  il avait une bosse sur la tête ! Ça  doit surement être son agresseur qui l’a tapé pour l’obliger à tuer le bijoutier !

Le juge : D’accord jeune fille, vous m’avez convaincu. Votre frère restera seulement 2 ans en prison.

Hier, ma voisine a tué son mari. Je veux essayer d'adoucir la sentence rendue par le juge. Elle l'a tué parce qu'il la frappait tous les jours et qu'il lui criait dessus sans cesse.

 Il avait essayé de voler son héritage d’une valeur de 50 000 euros.

 Et puis, hier soir, il allait la tuer. Alors elle s'est défendue. Ce n'était que de la légitime défense. Merci.